Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 14:49

Le Front de libération du Québec n’est pas le Messie, ni un Robin des bois des temps modernes, C’est un regroupement de travailleurs québécois qui sont décidés à tout mettre en œuvre pour que le peuple du Québec prenne définitivement en mains son destin.

Le Front de libération du Québec veut l’indépendance totale des Québécois, réunis dans une société libre et purgée à jamais de sa clique de requins voraces, les « big boss » patronneux  et leurs valets qui ont fait du Québec leur chasse gardée du cheap labor et de l’exploitation sans scrupules.

Le Front de libération du Québec n’est pas un mouvement d’agression, mais la réponse à une agression, celle organisée par la haute finance par l’entreprise des marionnettes des gouvernements fédéral et provincial (le show de la Brinks, le bill 63, la carte électorale, la taxe dite de « progrès social » (sic), power corporation, l’assurance-médecins, les gars de Lapalme).

Le Front de libération du Québec s’autofinance d’impôts volontaires (sic) prélevés à même les entreprises d’exploitation des ouvriers (banques, compagnies de finance, etc.).

    « Les puissances d’argent du statu quo, la plupart des tuteurs traditionnels de notre peuple, ont obtenu la réaction qu’ils espéraient, le recul plutôt qu’un changement pour lequel nous avons travaillé comme jamais ; pour lequel on va continuer à travailler. »
    René Lévesque, 29 avril 1970.

Nous avons cru un moment qu’il valait la peine de canaliser nos énergies, nos impatiences comme le dit si bien René Lévesque, dans le Parti québécois, mais la victoire libérale montre bien que ce qu’on appelle démocratie au Québec n’est en fait et depuis toujours que la « democracy » des riches. La victoire du Parti libéral en ce sens n’est en fait que la victoire des faiseurs d’élections Simard-Cotroni. En conséquence, le parlementarisme britannique, c’est bien fini et le Front de libération du Québec ne se laissera jamais distraire par les miettes électorales que les capitalistes anglo-saxons lancent dans la basse-cour québécoise à tous les quatre ans. Nombre de Québécois ont compris et ils vont agir. Bourassa dans l’année qui vient va prendra de la maturité : 100 000 travailleurs révolutionnaires organisés et armés !

Oui il y en a des raisons à la victoire libérale. Oui il y en a des raisons à la pauvreté, au chômage, aux taudis, au fait que vous M. Bergeron de la rue Visitation et aussi vous M. Legendre de Ville de Laval qui gagnez 10 000 dollars par année, vous ne vous sentiez pas libres en notre pays le Québec.

Oui il y en a des raisons, et les gars de la Lord les connaissent, les pêcheurs de la Gaspésie, les travailleurs de la Côte Nord, les mineurs de la Iron Ore, de Québec Cartier Mining, de la Noranda les connaissent eux aussi ces raisons. Et les braves travailleurs de Cabano que l’on a tenté de fourrer  une fois de plus en savent des tas de raisons.

Oui il y en a des raisons pour que vous, M. Tremblay de la rue Panet et vous, M. Cloutier qui travaillez dans la construction à St-Jérôme, vous ne puissiez vous payer des « vaisseaux d’or » avec de la belle zizique et tout le fling flang comme l’a fait Drapeau-l’aristocrate, celui qui se préoccupe tellement des taudis qu’il a fait placer des panneaux de couleurs devant ceux-ci pour ne pas que les riches touristes voient notre misère.

Oui il y en a des raison pour que vous Madame Lemay de St-Hyacinthe vous ne puissiez vous payer des petits voyages en Floride comme le font avec notre argent tous les sales juges et députés.

Les braves travailleurs de la Vickers et ceux de la Davie Ship les savent ces raisons, eux à qui l’on a donné aucune raison qu’ils voulaient se syndiquer et à qui les sales juges ont fait payer plus de deux millions de dollars parce qu’ils avaient voulu exercer ce droit élémentaire. Les gars de Murdochville la connaissent la justice et ils en connaissent des tas de raisons.

Oui il y en a des raisons pour que vous, M. Lachance de la rue Ste-Marguerite, vous alliez noyer votre désespoir, votre rancœur et votre rage dans la bière du chien à Molson. Et toi, Lachance fils avec tes cigarettes de mari… Oui il y en a des raisons pour que nous, les assistés sociaux, on vous tienne de génération en génération sur le bien-être social. Il y en a des tas de raisons, les travailleurs de la domptar à Windsor et à East Angus les savent. Et les travailleurs de la Squibb et de la Ayers et les gars de la Régie des Alcools  et ceux de la Seven Up et de Victoria Precision, et les cols bleus de Laval et de Montréal et les gars de Lapalme en savent des tas de raisons.

Les travailleurs de Dupont of Canada en savent eux aussi, même si bientôt ils ne pourront que les donner en anglais (ainsi assimilés, ils iront grossir le nombre des immigrants, Néo-Québécois, enfants chéris du bill 63).

Et les policiers de Montréal auraient dû les comprendre ces raisons, eux qui sont les bras du système ; ils auraient dû s’apercevoir que nous vivons dans une société terrorisée parce que sans leur force, sans leur violence, plus rien ne fonctionnait le 7 octobre !

Nous en avons soupé du fédéralisme canadien qui pénalise les producteurs laitiers du Québec pour satisfaire aux besoins anglo-saxons du Commonwealth ; qui maintient les braves chauffeurs de taxi de Montréal dans un état de demi-esclaves en protégeant honteusement le monopole exclusif de l’écœurant Murray Hill et de son propriétaire-assassin Charles Hershorn et de son fils Paul qui, à maintes reprises, le soir du 7 octobre, arracha des mains de ses employés le fusil de calibre 12 pour tirer sur les chauffeurs et blesser ainsi mortellement le caporal Dumas, tué en tant que manifestant ; qui pratique une politique insensée des importations en jetant un à un dans la rue les petits salariés des Textiles et de la Chaussure, les plus bafoués au Québec, aux profit d’une poignée de maudits « money-makers »  roulant cadillac ; qui classe la nation québécoise au rang des minorités ethniques du Canada.

Nous en avons soupé, et de plus en plus de Québécois également, d’un gouvernement de mitaines qui fait mille et une acrobaties pour charmer les millionnaires américains en les suppliant de venir investir au Québec, la Belle Province où des milliers de milles carrés de forêts remplies de gibier et de lacs poissonneux sont la propriété exclusive de ces même Seigneurs tout-puissants du XXe siècle ; d’un hypocrite à la Bourassa  qui s’appuie sur les blindés de la Brinks, véritable symbole de l’occupation étrangère au Québec, pour tenir les pauvres « natives »  québécois dans la peur de la misère et du chômage auxquels nous sommes tant habituées ; de nos impôts que l’envoyé d’Ottawa au Québec veut donner aux boss anglophones pour les « inciter », ma chère, à parler français, à négocier en français : repeat after me : « cheap labor means main-d’œuvre à bon marché » ; des promesses de travail et de prospérité, alors que nous serons toujours les serviteurs assidus et les lèche-bottes des big-shot , tant qu’il y aura des Westmount, des Town of Mount-Royal, des Hampstead, des Outremont, tous ces véritables châteaux forts de la haute finance de la rue St-Jacques et de la Wall Street, tant que nous tous, Québécois, n’aurons pas chassé par tous les moyens, y compris la dynamite et les armes, ces big-boss de l’économie et de la politique, prêts à toutes les bassesses pour mieux nous fourrer .

Nous vivons dans une société d’esclaves terrorisés, terrorisés par les grands patrons, Steinberg, Clark, Bronfman, Smith, Neapole, Timmins, Geoffrion, J.L. Lévesque, Hershorn, Thompson, Nesbitt, Desmarais, Kierans (à côté de ça, Rémi Popol la garcette, Drapeau le dog, Bourassa le serin des Simard, Trudeau  la tapette, c’est des peanuts  !).

Terrorisés par l’Église capitaliste romaine, même si ça paraît de moins en moins (à qui appartient la Place de la Bourse ?), par les paiements à rembourser à la Household Finance, par la publicité des grands maîtres de la consommation, Eaton, Simpson, Morgan, Steinberg, General Motors… ; terrorisés par les lieux fermés de la science et de la culture que sont les universités et par leurs singes-directeurs Gaudry et Dorais et par le sous-singe Rober Shaw. Nous sommes de plus en plus nombreux à connaître et à subir cette société terroriste et le jour s’en vient où tous les Westmount du Québec disparaîtront de la carte.

Travailleurs de la production, des mines et des forêts ; travailleurs des services, enseignants et étudiants, chômeurs, prenez ce qui vous appartient, votre travail, votre détermination et votre liberté.

Et vous, les travailleurs de la General Electric, c’est vous qui faites fonctionner vos usines ; vous seuls êtes capables de produire ; sans vous, General Electric n’est rien !

Travailleurs du Québec, commencez dès aujourd’hui à reprendre ce qui vous appartient ; prenez vous-mêmes ce qui est à vous. Vous seuls connaissez vos usines, vos machines, vos hôtels, vos universités, vos syndicats ; n’attendez pas d’organisation miracle.

Faites vous-mêmes votre révolution dans vos quartiers, dans vos milieux de travail. Et si vous ne le faites pas vous-mêmes, d’autres usurpateurs technocrates ou autres remplaceront la poignée de fumeurs de cigares que nous connaissons maintenant et tout sera à refaire. Vous seuls êtes capables de bâtir uns société libre.

Il nous faut lutter, non plus un à un, mais en s’unissant jusqu’à la victoire, avec tous les moyens que l’on possède comme l’ont fait les Patriotes de 1837-1838 (ceux que Notre sainte mère l’Église s’est empressée d’excommunier pour mieux se vendre aux intérêts britanniques).

Qu’aux quatre coins du Québec, ceux qu’on a osé traiter avec dédain de lousy French  et d’alcooliques entreprennent vigoureusement le combat contre les matraqueurs de la liberté et de la justice et mettent hors d’état de nuire tous ces professionnels du hold-up et de l’escroquerie : banquiers, businessmen, juges et politicailleurs  vendus !!!

Nous sommes des travailleurs québécois et nous irons jusqu’au bout. Nous voulons remplacer avec toute la population cette société d’esclaves par une société libre, fonctionnant d’elle-même et pour elle-même, une société ouverte sur le monde.

Notre lutte ne peut être que victorieuse. On ne tient pas longtemps dans la misère et le mépris un peuple en réveil.

    Vive le Québec libre !
    Vive les camarades prisonniers politiques !
    Vive la révolution québécoise !
    Vive le Front de libération du Québec !

Par L'enculeuse québécoise
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Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 14:48
Par L'enculeuse québécoise - Publié dans : échangiste porn
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Vendredi 22 février 5 22 /02 /Fév 15:01

Mon chum est maintenant mon EX. Sortir avec les copines c’est bien mais c’est trop restreint ! Je déteste faire ceinture si tu vois ce que je veux dire. Petite coiffeuse québécoise, j’adore les motards bouillants qui se laissent aller dans un bon bain chaud !

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Par L'enculeuse québécoise - Publié dans : échangiste porn
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Samedi 16 février 6 16 /02 /Fév 20:00

 

C'était formidable !! Tabarnak le sexe qu'on peut trouver à Montréale est au-delà de ce qui est imaginable. J'étais prise par les hommes et les couples. Par le devant et le derrière. J'ai des photo pour partager avec mes amis.

Par L'enculeuse
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Samedi 9 février 6 09 /02 /Fév 03:21

Pour une femme et la promesse du sexe.  Un homme est prêt de fare n'importe quoi.  (Sauf s'il est gay) Moi je trouve que les blacks sont des pires coureurs de jupons du monde.  Beaucoup trop dit n'importe quoi pour mettre enfin une femme dans son lit.

 

Deux blondes et un black baisent

Lorsque les deux blondes arrivent, le beau black décide de changer son programme d'entraînement. Aujourd'hui, il va s'occuper du muscle de la bite! Pour se faire, il fourre au maximum de ses capacités, il donne tout ce qu'il a et cartonne les petits fions.

Compilation de baises sauvages

Une pom-pom girl s'amuse avec deux gros bâtons

Zut alors, la jolie pom-pom girl a encore oublié ses bâtons pour s'entraîner! Pas de soucis, deux âmes charitables se chargent de lui proposer des bâtons de chair qui feront bien l'affaire. Sans hésiter, la coquine s'empare des deux bites et nous fait son numéro le plus beau.

Deux lesbiennes redécouvrent le chibre

Décontractées et décomplexées, deux lesbiennes se lancent dans un plan à trois au bord d'une piscine avec un mec bien membré. Cette baise sans prise de tête et avec de la prise de cul se fait dans la bonne humeur la plus totale, tout le monde y trouvant son compte!

Une grosse sucrerie pour deux gourmandes

Un généreux philanthrope s'occupe de deux affamées de la bite. Il s'agit de deux salopes qui ont une envie irrépressible de se faire cartonner la moule et de bouffer son bon gros braquemart. Une fois la sucrerie déballées, les cochonnes sont folles!

Deux brunes se prennent un tronc

Deux jolies brunes se ressourcent en pleine nature. A force de se donner des coups de langues, des ruisseaux de mouille coulent le long de leurs cuisses. Du coup, elles accueillent volontiers le gros tronc d'un inconnu qui se charge de leur ramoner la chatte de fond en comble.

Un photographe se tape deux jolies blondes

Etre photographe érotique, c'est le pied! Ce n'est pas Tim qui vous dira le contraire car le voilà en train de se taper les deux blondes qu'il prenait en photos quelques instants auparavant. Celui-ci a en effet la particularité de se foutre à poil pour mettre à l'aise les coquines!

Deux bites providentielles pour une salope

La superbe Irina a le feu à la chatte comme jamais. Seule, elle se touche sur le canapé. Heureusement, surviennent deux mecs précédés de leurs hérauts, deux braquemarts bien durs, dressés en l'honneur du cul de cette salope qui se fait une joie de les accueillir comme il se doit.

Deux coquines se font piner!

Deux coquines se font initier aux plaisirs de la chair par un vieux pervers qui sait y faire et qui leur donne un plaisir dingue. Il les mène du bout de la pine et elles en redemandent encore et encore les petites salopes!

Deux jeunes salopes se font sauter par un vieux.

Deux jeunes coquines se retrouvent nues dans une salle de bain avec une sorte de gourou du sexe. En guise de mise en bouche, il se pissent dessus mutuellement. Puis, n'en pouvant plus, les nanas se font tringler à tour de rôle et se tripotent entre elles!

Par L'enculeuse
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